Matteo Sanchez


-Fr- V16 Tuning dream. CGI, Mécanique onirique.

V16 Tuning dream est une série d’images représentant une scène de mécanique onirique.

Celles-ci convoquent un univers graphique hybride entre le monde très codifié du tuning et le monde du rêve.


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-Fr- Écosystème. CGI,Collection géologique.

Écosystème est un travail graphique sur le thème du monde marin, et plus précisément sur le domaine des coraux fossilisés. Il explore les richesses graphiques de ces éléments géologiques, en les associant à des recherches effectuées par des chercheurs dans le cadre de thèses ou papiers scientifiques.

De ce travail résultent des planches scientifiques fictives proposant une approche graphique de ce milieu dense et complexe.

Il est inspiré de l’œuvre «Ecosystème» de Maxime Dangles et Dylan Cote, exposée en ce moment à la SAT (Société des Arts Technologiques) de Montréal.


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-Fr- Unnamed Soil. CGI, Recherche 3D.

Unnamed soil est un projet de recherche en cours autour de la technologie du « displacement », qui consiste à déformer une géométrie selon une image en niveaux de gris.

Ici, cette recherche prend la forme d’un amas de basalte, avec, en son centre, un cœur lumineux dont l’intensité varie.


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-Fr- Travail en cours… Travail en cours…

Travail en cours… (bientôt disponible)


-En- Work in progress… Work in progress…

Work in progress…


-Fr- Le monde sinon rien. Scénographie d’exposition, Biennale Internationale de Design de Saint-Étienne, 2022.

Constitutions de la scénographie de l’exposition, sous le suivi de Benjamin Graindorge et Sophie Pene, co-commissaires.

À la croisée entre une machine en construction et une épave de bateau, la scénographie dévoile, au fur et à mesure de la visite, ses entrailles de bois ordonnées dans un désordre aéré et lumineux, au service des œuvres exposées.

L’exposition traite de la rencontre entre deux entités : une école de biologistes et de physicien·nes et une école d’artistes et de designers, qui tentent parallèlement de donner une lecture sensible du monde dans lequel ils et elles vivent.


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-Fr- Il suffit d’une étincelle pour que tout commence. Projet de diplôme (DNSEP), 2022.

« Après quelques tentatives, le feu prend et la chaleur commence à se diffuser. Je viens le nourrir de mon souffle qui dessine son tracé dans les braises qui se forment. C’est un moment hors du temps qui commence, celui de l’échange historique entre l’homme et le feu. La flamme, quand elle déchire l’obscurité en torsade, à quelque chose en elle qui touche au temps, elle s’en extrait, ou plutôt crée le sien. Dans le halo protecteur du feu, les heures ondulent et s’emplissent de rêverie. Les arbres, eux, dansent au rythme irrégulier des crépitements qui battent la mesure. Le feu existe comme une tentative d’allonger le jour, sans pour autant refuser la nuit. Il est une transition de la lumière à l’obscurité, un préambule au noir du soir. C’est un moment flottant, qui ne dure qu’un temps, celui des braises, des branches et de la flamme. » (Matteo Sanchez, extrait de la présentation du DNSEP, Esadse, 2022.)

C’est dans cet espace-temps transitoire du feu de camp que j’ai choisi d’ancrer mon projet de diplôme. J’utilise l’interdépendance qui s’instaure entre le randonneur et le foyer pour créer des objets qui matérialisent les différentes phases de ce moment. Des objets qui permettent de mettre en place son feu de camp, d’autres qui agissent comme support du dialogue entre l’homme et l’élément et, pour finir, des objets qui permettent d’adoucir le retour vers le froid et l’obscurité, une fois le feu éteint.

Le moment du feu de camp devient ainsi un but premier, primant sur le trajet ainsi que la marche elle-même.


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-Fr- Le soir, je m’endormais vers l’est. Mémoire de master (DNSEP), 2022.

“Quelle que soit la direction prise, marcher conduit à l’essentiel.” (Sylvain Tesson, Petit traité sur l’immensité du monde, Pocket, 2008.)

Après les divers confinements dus au Covid19, j’ai ressenti le besoin de changer mon quotidien. J’envisage alors de m’extraire du réel en partant marcher plusieurs jours dans les montagnes, pour me retrouver seul, face à moi-même.

Dans ce mémoire, je raconte ma première randonnée en autonomie dans les Pyrénées, ou comment la marche m’a permis de m’échapper du contexte actuel, pour découvrir, entre autres, une nouvelle temporalité : celle des kilomètres plutôt que des heures, celle des sentiers plutôt que des minutes, celles des pas plutôt que des secondes.

J’aborde ainsi différents aspects qui composent cette pratique, notamment le matériel, la solitude, le paysage ou l’effort physique, que j’analyse d’un point de vue de designeur.

 

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-Fr- Raxasukayu Loxo. Projet en collaboration avec le designer Bassirou Wade (Dakar, Sénégal), 2021.

Réalisation d’un lave-main autonome, économique et itinérant avec le designeur Bassirou Wade (Sénégal) et l’anthropologue Yann-Philippe Tastevin (France).

Ce lave-main low-tech, inspiré du Canacla (point d’eau autonome et économe), est entièrement réalisé avec des éléments récoltés hyperlocalement, dans un rayon de 30km maximum autour de Saint-Étienne.

Grâce à des mécanismes conçus spécialement pour le projet, ce lave-main permet d’utiliser jusqu’à 30 fois moins d’eau par lavage, que les robinets traditionnels.

Raxasukayu Loxo (Gardons les mains propres en Wolof) a été exposé à la Cabane du design de Saint-Étienne en 2021 et à la Biennale Internationale de Design de Saint-Étienne, dans l’exposition Singulier Plurielles, en 2022.


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-Fr- Sedia. Mobilier, 2021.

Sedia est une chaise qui puise son inspiration de la collaboration pour l’exposition Super Normal (2006) entre les deux designeurs Naoto Fukasawa (Japon) et Jasper Morrison (Grande-Bretagne).

Elle reprend les codes de la chaise d’école classique à la conception robuste, tout en modernisant son esthétique avec des lignes plus douces et un dessin sobre et discret.

Son assise, d’un bloc, assure une facilité d’assemblage lors de la conception, un coût de production réduit ainsi qu’une durabilité faisant de Sedia une chaise aussi pratique qu’élégante.


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-Fr- Addup. Lampe à poser en collaboration avec l’entreprise AddUp, spécialistes de l’impression 3D métallique, 2021.

Cette lampe est le résultat d’une réflexion sur la production d’objets uniques, par l’intermédiaire d’une chaîne de production industrielle.

Pour rendre cela possible, il a fallu dessiner une forme qui serait produite en série, à l’identique, que l’on viendrait ensuite exposer à un facteur extérieur venant modifier aléatoirement chaque pièce, permettant l’obtention d’objets uniques.

Nous avons donc conçu une forme avec des évidements à chaque jonction. Ces évidements fragilisent structurellement l’objet qui est ensuite passé à la chaleur (+1500°C), pour obtenir une déformation aléatoire de la lampe.

Cette lampe est donc produite en série, mais, dans un second temps, l’exposition à un facteur externe rend chaque pièce unique.


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-Fr- Riflessi. Lampe de sol en partenariat avec les entreprises Axalta et CFL, 2020.

La lampe à poser Riflessi est le résultat d’une recherche sur la dispersion de la lumière.

Composée principalement d’une feuille de métal roulé, Riflessi vacille au gré des courants d’air, permettant de diffuser la lumière en un va-et-vient hypnotisant.

Objet de contemplation, elle intrigue par sa forme, par la lumière chaleureuse qu’elle émet, ou encore par la place qu’elle prend visuellement dans l’espace.


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-Fr- Posa. Mobilier urbain, 2020.

Posa est un mobilier urbain composé d’une structure en bois qui offre une large gamme de positions différentes. Ses assises hautes, basses, longues et sa partie intérieure sont autant de possibilités d’approches pour un public intergénérationnel.

Posa est adaptée aux campus d’universités ainsi qu’aux jardins et places publiques, grâce à sa structure solide et durable.


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